Propos sur le rêve prémonitoire.

Réflexions et TémoignagesAnnée 2016
Propos sur le rêve prémonitoire.

I – Qu’est-ce qu’un rêve prémonitoire ?

Voici, la définition du Web. Un rêve prémonitoire est un rêve prétendu traitant d’un sujet réel, parfois de nature symbolique et semblant être une représentation d’une situation, d’un événement extérieur présent ou futur dont le rêveur n’avait pas conscience au moment de s’endormir…

Cela explique bien, que le rêve prémonitoire ne peut être considéré comme tel, que si et je dis bien si, le rêveur n’a aucune possibilité par la réflexion d’imaginer ce qui pourrait se produire.

Certains rêves que j’appellerais de mise en garde, de déduction ou d’anticipation peuvent paraître parfois prémonitoires, mais il n’en est rien. Voici, des exemples…

1) Une personne ayant des problèmes financiers, ne payant ni son loyer, ni ses factures, fait un cauchemar, il se retrouve à la rue. Six mois plus tard, il est SDF. A-t-il fait un rêve prémonitoire ? Normalement non, le stress qu’il vivait à ce moment-là, et les réflexions qu’il se faisait la journée ont amené ce rêve. Il ne voulait pas voir son problème en face, son inconscient lui a simplement montré avec des images, ce qui risquait de lui arriver, s’il ne se bougeait pas. On pourrait dire aussi que ce cauchemar était là pour lui dire de faire une action pour éviter que tout cela se réalise.

2) Une personne a pour habitude de conduire en état d’ébriété. Son meilleur ami, lui raconte qu’il a fait un cauchemar à son sujet. Il avait un accident de voiture, et ne s’en sortait pas. Deux mois après, cet ami est à son enterrement. Est-ce un rêve prémonitoire ? Normalement non, la constatation de sa conduite, ne pouvait qu’amener ce genre de rêve, lié certainement à l’angoisse que vivait son meilleur ami, au vu de sa conduite.

Je mets « normalement non » parce que, dans les rêves, il peut y avoir, des faits non connus du rêveur, si par exemple on voit des détails dans le rêve, dont on a aucune connaissance avant. Si par exemple, dans le rêve de l’accident, nous voyons une route précise et que son ami ne passait jamais par là, et que c’est ici qu’il est mort, nous pouvons le mettre dans les rêves prémonitoires.

Un exemple de rêve que l’on peut considérer comme prémonitoire, une personne se couche, tout va bien dans sa vie, et ce, depuis des années, que ce soit professionnel, santé, etc. Elle fait un cauchemar, elle se voit dans un lit d’hôpital, épuisée, elle touche son ventre, elle vient de se faire opérer. Les mois passent. Un an après, elle est à l’hôpital, elle pose sa main sur son ventre, et le rêve qu’elle avait oublié lui revient en mémoire. Tout y est dans les moindres détails.

Ce rêve est prémonitoire. Rien, ne lui permettait au moment du rêve, puisque tout allait bien pour elle, de s’imaginer qu’elle aurait pu se faire opérer.

Rassurez-vous le rêve prémonitoire n’est pas que cauchemar, il peut aussi nous amener le bonheur.

Nous pouvons donc résumer le rêve prémonitoire, comme un rêve qui nous donne des éléments du futur, dont on ne peut avoir aucune connaissance extérieure au moment où on le fait. Il n’est pas de l’ordre de la réflexion ou de la déduction.

Le seul inconvénient, le plus souvent, nous ne pouvons pas savoir s’il est prémonitoire, avant qu’il se produise dans la réalité.

II – Est-ce que le rêve prémonitoire existe ?

Si nous regardons les études faites, nous nous rendons compte que certaines personnes refusent le rêve prémonitoire, il s’agirait simplement d’anticipation ou des choses que nous avons perçues la journée.

En effet, cela viendrait d’après certains, de l’inconscient, qui lui, enregistre tout, depuis notre naissance. Par exemple, nous ne pouvons pas rêver de personnes que nous n’avons jamais vues. Toutes les personnes qui seraient dans nos rêves, nous les aurions croisées un jour où l’autre dans la vie, ou à la télévision…

Ou alors, cela n’appartiendrait qu’au personne qui ont une capacité particulière, un don tout simplement.

Je vais faire court, je ne suis pas d’accord, nous avons tous, les mêmes capacités, à nous de savoir si nous voulons les exploiter ou pas.

J’avais pris contact avec Bernard Auriol (médecin psychiatre) il y a quelques années, il faisait une étude sur les rêves prémonitoires. Puis je me suis rétractée, pour une seule raison, ma liberté, mon besoin de travailler seule.

J’ai fait des rêves prémonitoires, certains qui ont évité des catastrophes (personnelles), certains qui n’ont aucun rapport avec moi, liés par exemple à des personnes publiques. J’ai vu des endroits que je ne connaissais pas, j’ai même rêvé d’une maladie et d’un vaccin, bien avant qu’il soit fait, etc.

Nul besoin d’avoir un don pour faire des rêves prémonitoires, il suffit seulement de s’ouvrir à l’inconnu et de noter ses rêves.

Quelle est la meilleure preuve, que d’avoir écrit un an avant quelque chose qui ne se produira qu’un an après ?

[Maia Larzabal Jude. – le 30-11-16]faceBook

La chercheuse de Rêves…

Réflexions et TémoignagesAnnée 2016
La chercheuse de Rêves…

Je suis avant tout une « chercheuse de rêves », cela signifie que je cherche à comprendre à quoi peut servir le rêve en dehors du côté psychanalytique.

En 2007, je passe une période, dit « d’Hermite », je deviens solitaire par choix, mon but étant de vivre au maximum les rêves.

Je découvre, ce que j’appelle les « rêves de mémoire d’ADN », quelque temps après, j’en parle à une amie. Aucune preuve scientifique, mais je sais que j’ai raison.

Quelques années plus tard, confirmation scientifique, cette fois-ci, on en parle à la télévision, nous aurions une mémoire d’ADN. Ce que j’ai ressenti en entendant cette découverte ? De la joie, tout simplement.

Un des rêves, qui m’a amené à cette découverte, est lié à ma mère, j’avais fait un rêve en noir et blanc, ce qui pour moi est assez exceptionnel. C’était un rêve où je me voyais en tant que « caméra », ma mère devait avoir 16 ans environ (9 ans avant ma naissance) et avait une discussion avec ses parents.

Au réveil, tout était vraiment clair, les mots, les gestes, les ressentis. Dans la journée, je décide, d’appeler ma mère, pour savoir si c’est un délire de ma part ou une réalité.
Confirmation, c’était bien une réalité. Une réalité que je ne connaissais pas, mais qui était inscrite en moi.

La mémoire des rêves est illimitée, nous portons en nous, toutes les connaissances.
Un jour, on m’a posé cette question : « Pourquoi veux-tu te mettre à ton compte, quelle est ta particularité, que peux-tu apporter de nouveau ? »

Voici, ma réponse :
« Parce que je n’ai pas fait les choses dans l’ordre, non, je n’ai pas étudié d’abord la psychologie, ni comment il fallait rêver, j’ai tout d’abord vécu, puis j’ai fait des choix, certains lourds de conséquences… Une vie souvent très dure, mais je me suis toujours relevée.

J’ai brisé la plupart de mes croyances et les rêves sont arrivés à un moment où je me sentais perdue. Ils sont arrivés comme une lumière au bout du tunnel. Ils sont arrivés sans que je ne demande rien. Ils sont venus me montrer ce que l’homme ne me montrait pas.

Au lieu de prendre des livres pour comprendre mes rêves, j’ai décidé que mes rêves allaient me montrer ce qu’ils étaient.

Je suis devenue « Chercheuse de rêves », c’est comme ça que j’aime à me définir. Chaque matin, je me réveillais avec des connaissances que je n’avais pas la veille, avec la compréhension des rêves ou de symboles qui me faisaient défaut.

Puis lorsque j’ai compris le rêve, que j’ai su que cela m’était acquis, qu’il était devenu ma structure de base, que je savais que rien ne pouvait toucher à ce que j’avais compris, alors j’ai décidé de lire. Parce que j’avais la foi.

J’ai lu ce qu’on appelle les maîtres, surtout un, Jung, et j’ai vu que ce que j’avais compris ressemblait étrangement à ce que Jung avait écrit, mais pas sur tout. Un jour, une amie m’a offert un livre sur les rêves, plus d’anthropologie et de chamanisme. J’ai vu que là aussi mes connaissances intérieures, celles que j’avais apprises seule, étaient les mêmes que ce qui était écrit. Alors j’ai su que je ne me trompais pas.

Je pouvais entrer dans les rêves avec confiance, car ce que je savais, je ne le savais pas par lecture ou ce que j’avais étudié, mais bien parce ce qu’il faisait partie de moi, parce que j’avais vécu le Rêve.

J’ai fini par associer mes propres recherches et mes connaissances à ce qui était déjà connu.

À la question « Pourquoi ? »… Ma réponse est « Parce que je vis le rêve et je suis sûre de pouvoir aider. »

Je n’ai pas de maître, si ce n’est que le Rêve.

J’ai parlé plus haut de la mémoire de l’ADN. Est-ce la seule mémoire qui existe en nous ?

Partons du fait que le rêve n’a aucune limite espace-temps. Partant de ce principe, je peux dire qu’en effet, nous avons en nous toutes les mémoires, lorsque je dis toutes les mémoires, je parle bien sûr, des mémoires des VIES ANTÉRIEURES.

Je suis consciente que je pars sur un chemin, qui peut faire peur ou amener des réfractaires quant à ma façon d’être, mais le jour où j’ai décidé de créer cette page et me mettre à mon compte, j’ai aussi décidé de faire voir le rêve tel que je l’ai vécu ou tel que je le vis, sans aucune censure, ou presque.

Est-ce que je crois aux vies antérieures ? Oui. Est-ce que j’y ai toujours cru ? Non.
Peut-on tous rêver de nos vies passées ? Oui, mais… Il y a une condition.

J’ai commencé à rêver en « costume » (j’entends par là, des vêtements, rôles qui n’appartiennent pas à ma vie actuelle), à certains moments de ma vie. Au début, même si ce genre de rêve me fascinait, je mettais ça, sur le compte de la symbolique, d’éducation judéo-chrétienne, la vie antérieure n’existait pas.

Puis à une époque de ma vie, où j’essayais de comprendre une histoire d’amour dont je n’arrivais pas à me détacher. Une nuit, j’ai fait trois rêves, à chaque fois, j’étais avec cette personne, mais dans des lieux, des époques différentes. Le matin, au réveil, j’avais une clef en plus. Cette histoire se répétait époque après époque.

Malgré ces rêves, je suis un peu comme St Thomas, mes croyances étaient plus fortes que ce que les rêves me montraient.

Puis à partir de 2007, l’année qui commença ma période « d’Hermite », par choix, mes rêves sont devenus plus « bavards ».

C’était l’époque aussi des mémoires d’ADN. Je commençais à me perdre dans toutes ces données. Puis une nuit, je fis deux rêves à la suite, l’un de mémoire d’ADN et l’autre de vie antérieure. À la fin du dernier rêve, une personne dedans me disait, « tu comprends la différence, maintenant tu y crois aux vies antérieures ? ». Depuis ce jour, je n’ai plus aucun doute.

Deux des conditions, pour faire des rêves de ce type, sont, la première, devoir comprendre, et dépasser une expérience qui se répète, et la deuxième élargir notre plan de conscience.

Brisons nos croyances, restons ouverts à l’inconnu.

[Maia Larzabal Jude. – le 29-11-16]faceBook