Le songe d’Ézéchiel… Mais est-ce vraiment un « songe » ?

Année 1997
Le songe d’Ézéchiel… Mais est-ce vraiment un « songe » ?
J’ai reçu, voilà maintenant 20 ans, un petit livret d’un ami, Jean-Paul S. Lorsque je l’ouvris à l’époque, je découvris une traduction moderne du songe d’Ezéchiel que je trouvais intéressante…

20 ans après, je la trouve simpliste mais néanmoins plausible… Ezéchiel a vécu une expérience hors du commun mais est-elle physique ou psychique? Etait-ce vraiment un rêve ou une réalité ? A chacun de juger…

Chap. I, vers. 4 – je vis et voilà un vent tempétueux, qui venait du nord, et un gros nuage et un feu enveloppant autour duquel il y avait un éclôt, et au milieu de ce feu apparaissait comme l’image du cuivre fin et étincelant. Je vis donc un objet enveloppé du caractéristique halo, électromagnétique, qui émettait des lueurs de feu. Dans la partie plus intérieure de la soucoupe volante apparaissait une couleur de cuivre étincelant. Ce fut comme l’approche d’une furieuse tempête.
Chap. I, vers. 5 – Au milieu de celui-ci encore apparaissait l’image de quatre animaux, Telle était leur forme : ils avaient l’aspect d’hommes. Dans la partie centrale supérieure on distinguait un habitacle transparent qui était occupé par quatre hommes, lesquels étaient recouverts chacun par une combinaison spatiale ; ils apparaissaient semblables à des animaux. Cependant ils avaient la forme d’hommes et étaient comparables à nos astronautes.
Chap I. vers. 6 – Et chacun avait quatre visages et quatre ailes. Sur le casque étaient dessinés quatre emblèmes distinctifs et chacun comportait quatre palmes directionnelles semblables aux ailes.
Chap I. vers. 7 – Et leurs pieds étaient droits, et la plante de leurs pieds était comme la plante du pied d’un veau, et ils étaient étincelants comme la couleur du cuivre nettoyé. Leurs pieds chaussaient des bottines rigides forgées de façon que le pouce se distingue des autres doigts ; leurs combinaisons semblaient d’amiante et envoyaient des réverbérations de cuivre.
Chap I. vers. 8 – Et ils avaient des mains d’hommes au-dessous de leurs ailes, dans leurs quatre cotés et tous ils avaient leurs figures et leurs ailes. Leurs mains s’appuyaient à des poignées mises en correspondance des palmes directionnelles qui étaient quatre, et chacun avait sa combinaison munie de palmes de direction.
Chap I. vers. 9 – Leurs ailes s’accompagnaient l’une à l’autre… Ils ne se tournaient pas en marchant, chacun marchait droit devant soi. Les palmes directionnelles étaient disposées en couple.
(Le Prophète décrit le mouvement particulier des quatre astronautes, même s’il n’a pas spécifié qu’ils sortirent du vaisseau décrit ci-dessus).
Sous la poussée des petites fusées à l’extrémité des quatre palmes directionnelles, ils se déplaçaient par petits vols en ligne droite.
Chap I. vers. 10 – Or, quant à l’aspect de leurs figures, tous les quatre avaient un visage d’homme et un visage de lion, à droite ; et également tous les quatre avaient un visage de boeuf et un visage d’aigle, à gauche. Sur leur casque étaient dessinés quatre emblèmes ; une tête d’homme et une tête de lion, à droite ; une tête de boeuf et une d’aigle à gauche. (Il est important de rappeler qu’il s’agit des quatre symboles représentés dans le fameux sphinx égyptien et ce sont aussi les quatre animaux que l’Evangéliste Jean vit, alors qu’il était en Esprit autour du trône de Dieu et dans l’attitude d’adoration. (V. Apocalypse 4. 7. ).
Chap I . vers. 11 – Et leurs visages et leurs ailes étaient divises au-dessus, chacun deux ailes qui s’accompagnaient l’une l’autre et deux autres qui couvraient leurs corps. (Précision que le Prophète fait pour expliquer la disposition des quatre emblèmes distinctifs et des palmes de direction.)
Chap I. vers. 12 – Et chacun d’eux marchait droit devant soi. Ils marchaient partout où l’Esprit se mouvait. Pendant qu’ils marchaient, ils ne se retournaient pas de ci de là. Chacun d’eux se déplaçait en ligne grâce à la poussée fournie par leurs fusées placées aux extrémités des palmes de direction.
(Esprit = Energie motrice, synonyme d’animation et de mouvement). Dans leurs déplacements ils décrivaient de petits vols en ligne droite.
Chap I. vers. 13 – Et quant à l’aspect des animaux, ils ressemblaient à des braises de feu qui brûlaient comme des flambeaux, ce feu se répandait, grâce aux animaux, et donnait un éclat éblouissant et de ce feu sortait la foudre. Les flammes qui sortaient des rétrofusées brûlaient comme des flambeaux, et ce feu, qui était le moyen de déplacement de chaque astronef, sortait des extrémités des palmes directionnelles comme la foudre.
Chap I. vers. 14. – Et ces êtres allaient et venaient, pareils à la foudre. Et les astronautes, grâce à ce système de propulsion, se déplaçaient très rapidement.
Chap I. vers. 15. – Or, comme je contemplais ces êtres vivants voilà une roue sur la terre proche à chacune de leurs quatre faces. Or, pendant que je suivais les évolutions des quatre astronautes, voilà qu’un disque volant se posa près de chacun d’eux.
Chap I. vers. 16 – L’aspect des roues, et le travail, étaient semblables aux couleurs d’une chrysolite, et tous les quatre avaient le même aspect, et leur forme était comme si une roue avait été au milieu d’une autre roue. L’aspect des disques volants et le métal qui les composait était d’une couleur brun obscur.
Tous les quatre avaient la même forme un disque dans l’autre.
Chap I. vers. 17. – Lorsqu’elles se mouvaient, elles se mouvaient toutes les quatre, chacune de son côté, et en se mouvant elle ne se retournaient pas dans leur marche. Quand ils se déplaçaient, ils le faisaient tous les quatre en même temps et en une parfaite synchronisation, en prés entant à ma vue toujours le même tableau.
Chap I. vers. 18. – Et quant à leurs cercles, ils étaient haut d’une manière si effrayante et tous les quatre étaient pleins d’yeux partout alentour. La circonférence des disques volants était vraiment remarquable, la section supérieure de chacun apparaissait pleine de hublots.
Chap I. vers. 19 – Et quand les animaux marchaient, les roues se mouvaient à côté d’eux, et quand les animaux se levaient de terre, les roues pareillement se levaient. Quand les quatre astronautes se déplaçaient en employant les fusées, pour la poussée en avant, les disques les suivaient, quant au contraire les astronautes employaient les deux fusées pour la poussée verticale, les disques volants se levaient eux aussi et les suivaient.
Chap I. vers. 20. – Partout où l’Esprit se mouvait, se mouvaient eux aussi, et les roues se levaient à côté d’eux; de sorte que l’Esprit qui animait ces êtres était aussi dans les roues Quand les astronautes actionnaient les fusées de direction, ils se déplaçaient, ça et là, suivis en même temps par un disque volant.
J’étais certain de comprendre que puisque les quatre hommes étaient sortis chacun d’un disque volant, et bien que protégés par la combinaison pressurisée, étant donné qu’ils se mouvaient dans un milieu qui n’était pas le leur, ils obéissaient dans leurs déplacements aux ordres donnés par le disque qui suivait immédiatement son homme.
Chap I. vers. 21 – Quand ils marchaient, les roues aussi se déplaçaient, quand ils s’arrêtaient, les roues s’arrêtaient, et quand ils se levaient de terre, les roues aussi se levaient de terre, à côté d’eux ; de sorte que l’Esprit qui animait ces êtres était aussi dans les roues. Déjà commenté.
Chap I. vers. 22 – Et l’aspect de ce qui était au-dessus des êtres vivants était une étendue du ciel, semblable à un cristal d’une splendeur éblouissante qui s’étendait au-dessus de leur tête. Ses quatre astronautes avaient une vasque qui ressemblait au cristal dans lequel se reflétait le bleu du ciel ; cela était éblouissant du fait que je n’apercevais aucun aspect de visage, ou de nez, ou d’yeux, mais seulement le reflet du ciel. Ce casque était semblable à ces miroirs qui d’un côté reflètent l’image tandis que de l’autre ils permettent d’observer sans être vu.
Chap I. vers. 23 – Et au-dessous de l’étendue étaient leurs ailes droites, l’une contre l’autre, chacun en avait deux autres qui lui couvraient le corps. À peine au-dessous du casque qui reflétait l’étendue du ciel, les fusées directionnelles qui imprimaient le mouvement en avant, se divisaient en sections convergentes contre deux autres palmes orientables qui descendaient perpendiculairement jusqu’à terre sur toute la longueur du corps.
Ces deux palmes actionnées par les fusées posées à l’extrémité, imprimaient aux hommes le mouvement de poussée vers le haut.
Chap I. vers. 24. – E t j’entendis le son de leurs ailes, pendant qu’ils marchaient, et ils étaient semblables au son des grandes eaux, à la voix de l’Omnipotent, La voix de leurs paroles était comme le bruit d’un champs. Quand ils s’arrêtaient, ils baissaient leurs ailes. Et j’écoutai le bruit des fusées tandis qu’ils se déplaçaient, et c’était un vacarme impressionant comme le bruit du tonnerre et de la tempête et comme le bruit d’un champ encombré de beaucoup de monde. Quand ils s’arrêtaient le bruit des fusées baissait de ton.
Chap I. vers. 25. – Et quand ils s’arrêtaient et abaissaient leurs ailes, il y avait une voix qui venait par l’étendue qui était au-dessus de leurs têtes. Quand ils s’arrêtaient et le bourdonnement des fusées se taisait, j’entendais une voix qui, évidemment amplifiée par un microphone, provenait de l’intérieur du casque.
Chap I. vers. 26. – Et au-dessus de l’étendue qui était sur leurs têtes, il y avait l’aspect d’un trône, semblable à une pierre de saphir et sur ce trône il y avait comme l’image d’un homme qui y était assis. Je vis au-dessus des têtes des astronautes planer, comme un trône bleu ciel, un disque volant pourvu d’une coupole transparente à travers laquelle je pouvais distinguer l’aspect d’un homme qui occupait l’habitacle.
Chap I. vers. 27 – Ensuite je vis comme une couleur de cuivre étincelant, semblable au feu, l’intérieur de cette apparence de trône, des reins de cet homme jusqu’en haut et pareillement de ses reins jusqu’en bas, je vis comme une apparence de feu, autour duquel il y avait une splendeur. Ensuite j’ai pu distinguer que cet homme dans toute l’ampleur de l’habitacle, était enveloppé par une intense lumière des reins jusqu’en haut.
Pareillement je pouvais observer que des reins jusqu’en bas cet homme avait quelque chose dont sortait un vif rayon de lumière qui illuminait les alentour d’un vif éclat.
Chap I. vers. 28 – L’aspect de cette splendeur tout autour était semblable à l’aspect de l’arc qui est dans les nuages un jour de pluie. Tel fut l’aspect de la ressemblance de la gloire du Seigneur ; et comme je la vis, je tombais sur ma figure et j’entendis la voix de quelqu’un qui parlait. Ce rayon dégageait une lumière multicolore, semblable à l’arc-en-ciel.
A peine j’en fus investi et enveloppé je sentis mes forces manquer et je tombais à plat ventre.
Alors j’entendis une voix d’homme me parler.
Chap 2. vers. 1 – Et il me dit fils de l’homme redresse-toi et je te parlerai.
Et quand il m’eut parlé, l ‘ Esprit entra en moi et je me redressais et j’entendis celui qui me parlait.
Et ; il me dit : homme lève-toi, et je te parlerai. Et moi, entendant cette voix qui parlait mon langage, je me sentis rassuré au point que le courage et les forces me revinrent ; ainsi, je me levais et j’écoutais.
Chap 2. vers. 3 – Il me dit : fils de l’homme je t’envoie aux fils d’Israël, à des nations rebelles, qui se sont soulevées contre moi.
Eux-mêmes et leurs pères ont mal agi envers moi jusqu’à ce jour.

Chap 2. vers. 4 – Plutôt je t’envoie à des fils qui ont le front dur et le coeur obstiné, afin que tu leur dises :
Ainsi a parlé le Seigneur, l’Éternel,
etc. . .

La narration du Prophète Ezéchiel sur ce qu’il vit, entendit et fit au service des Extraterriens, qui le formèrent et le conseillèrent, se prolonge durant 48 chapitres…