Voulez-vous souscrire à l’édition de la nouvelle version de « La vie à corps perdu ».

Voulez-vous souscrire à l’édition de la nouvelle version de « La vie à corps perdu ».

Après avoir soumis le manuscrit de La vie à corps perdu à plusieurs éditeurs, qui m’ont opposé des refus polis en invoquant divers motifs (portant essentiellement sur le volume excessif de l’ouvrage), j’ai procédé à une refonte complète du livre. L’objectif premier était d’en réduire le volume de façon sensible sans en altérer le contenu. J’ai donc privilégié le thème des Expériences de Mort Imminente, me fixant pour second objectif la rédaction d’un autre ouvrage consacré aux phénomènes offrant de fortes similitudes avec les EMI (hypnose, rêves, expériences sous hallucinogènes, méditation, etc.).

De ce remaniement a résulté un manuscrit comportant 410000 signes, découpé en 8 chapitres, pour 300 pages environ (la pagination varie selon le format de mise en page) — le sommaire est accessible en cliquant ici. Si la version de La vie à corps perdu actuellement sur le site souffre d’une écriture approximative et contient encore de nombreuses fautes, ce n’est pas le cas de cette nouvelle version corrigée avec soin. Les premiers lecteurs m’ont affirmé qu’elle est d’une lecture agréable et d’un style plaisant… Mais on comprendra que je ne veuille pas m’étendre sur les autres qualités qu’on lui prête.

J’envisage désormais d’arrêter ma quête d’un éditeur pour me tourner vers une édition à compte d’auteur. Je me suis en effet aperçu que le véritable mobile de la plupart des refus qui m’ont été opposés concernait le fond, non pas la forme ou le volume. Jusqu’alors, pour beaucoup, les NDE relevaient tout simplement du paranormal ou d’une certaine forme de spiritualité d’essence exclusivement religieuse, là où d’autres n’y voyaient qu’un épiphénomène d’ordre psychique que la science était en mesure d’expliquer. Déboulonner ces vérités bien confortables, tout en explorant une autre voie d’investigation, ne pouvait qu’indisposer ceux qui en sont prisonniers.
Il faut dire également que certaines hypothèses développées dans le livre bousculent quelque peu les conventions idéologiques établies. Pas facile d’avoir raison trop tôt…

LE PROJET

A ce jour, je n’ai pas d’idée exacte de la somme nécessaire pour mener à bien l’édition à compte d’auteur de La vie à corps perdu. Il semble en tous cas qu’il faille envisager un investissement de quelques dizaines de milliers de francs afin d’obtenir un ouvrage de bonne facture : format 21 X 14, couverture en couleur d’aspect glacé, papier de qualité, reliure résistante, etc. Mais avant toute démarche, je pense qu’il est utile de savoir si cet ouvrage trouvera un lectorat suffisant. Nombre de lecteurs m’ont fait part de leur intérêt, certes, mais il s’agit maintenant de le matérialiser dans un investissement financier concret… Celui-ci correspond au prix auquel j’envisage de vendre le livre, soit 120 francs ; un prix très raisonnable au regard de ce qui est pratiqué sur le marché. Pour cette somme le souscripteur recevra, frais de port payé (en recommandé), un exemplaire de La vie à corps perdu ; bien entendu, il pourra souscrire pour autant d’exemplaires qu’il lui plaira. Voici pour la théorie…

Mais avant d’en arriver à la pratique, je souhaite que chaque souscripteur potentiel me fasse parvenir une promesse de souscription en m’indiquant la somme (tranches de 120 francs) qu’il sera en mesure d’engager le moment venu ; c’est à dire lorsque l’imprimeur me présentera la facture… Dès ce jour, j’adresserai un bon de commande à l’ensemble des souscripteurs, en copie cachée, afin de leur demander de me le retourner accompagné d’un règlement par chèque.
Si le nombre des souscripteurs est insuffisant je m’engage à prévenir chacun, par le même moyen, de l’abandon de ce projet. On trouvera au bas de cette page l’état d’avancement du projet, semaine après semaine, avec le nombre de souscripteurs (anonymes) et les sommes promises.
L’objectif est de mener le projet à terme vers la fin de l’année 2000, au plus tard à la fin du mois de mars 2001.

Alors ? Qu’en pensez-vous ? Êtes-vous disposé à soutenir une éventuelle édition de La vie à corps perdu ?

Si vous jugez que cela en vaut la peine, veuillez transmettre votre promesse de souscription à adelin@wanadoo.fr

MERCI PAR AVANCE

PS : Pour des raisons d’ordre bancaire, indépendantes de ma volonté, je regrette de ne pouvoir faire participer à cette souscription les lecteurs d’autres pays (francophones ou non) ne possédant pas un compte dans une agence bancaire française. Je vais tâcher de trouver une solution qui permette malgré tout de les associer à ce projet ; je suis ouvert à toutes les suggestions.

ÉTAT DES PROMESSES DE SOUSCRIPTION
AU 13/09/2000

68 promesses de souscription pour un montant de 8160 francs soit 68 coupons de 120 francs.

[Adelin Ramure – le 23-08-00]