Archives de catégorie : 1998 – PETITE HISTOIRE OU…

Ces Petites Histoires sont vraies ou sont fausses… peu importe… Si l’on y trouve un semblant de vérité et un écho au fond de soi, c’est qu’il y a une part de réalité…

Un certain voyage au centre de la Terre.

Année 1998
Un certain voyage au centre de la Terre.
Ces photographies (format 9 x 9) me sont parvenues dans les années 70. Je n’ai jamais pu savoir si ces clichés étaient vrais. Envoyés à un laboratoire photo, je n’ai jamais eu de réponse…
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Un curieux phénomène, n’est-ce pas ? Les satellites ESSA 5 et ESSA 7 prirent ces photos du pôle nord de la Terre en 1967/68. On peut constater la formation d’une ouverture d’un diamètre de 2300 km environ… Est-ce un trucage ou la réalité ?
Une Terre « creuse »… Curieuse théorie, n’est-ce pas ? Et pourtant savez-vous que les lamas tibétains pensent que notre corps est le reflet de l’Univers et l’Univers est dans notre corps. Les planètes peuvent être comparées aux cellules de notre enveloppe physique. Un noyau les compose et une fine pellicule entoure ce noyau vers l’extérieur…
Voici un dessin représentant cette autre façon de percevoir le monde. Aux deux pôles une ouverture se forme (inspiration), puis elle se referme (expiration).


Le soleil intérieur (900 km de diamètre) est le noyau de notre planète, lorsque qu’il est en phase avec le soleil extérieur, on obtient un phénomène curieux appelé « Aurore boréale ».

Le schéma ci-dessous donne un aperçu de l’épaisseur de la croûte terrestre qui maintient son équilibre grâce à la rotation (de la Terre) et aux pressions extérieures et intérieures des deux soleils.

À preuve du contraire, cette théorie n’a jamais pu être prouvée, l’inverse non plus d’ailleurs… En effet, rien ne dit, d’une manière scientifique, si les planètes ou les satellites (la lune, par exemple) sont pleins. Les sondages étant de l’ordre du Km, nous sommes loin d’avoir tout découvert…

Philippe Ragueneau raconte…

Année 1998
Philippe Ragueneau raconte…
Catherine Anglade est morte le 4 juin 1994 à l’âge de 64 ans… Son mari Philippe Ragueneau se retrouve alors en état de choc, puis peu à peu la solitude le gagne…. « Pourtant, dit-il, exceptionnellement, ce soir je ne pensais pas à elle quand tout d’un coup j’ai sursauté en entendant une phrase : « Mon bohomme ». Les mots me sont arrivés dans le cerveau. Je n’ai eu aucun doute, c’était elle. Elle était morte depuis un mois.

Les jours suivants, mais c’était bizarre, j’avais l’impression que les paroles étaient hautes et claires. D’autres fois, il me semblait me souffler à moi-même les mots que je voulais entendre… Devenais-je fou ? Je suis d’un naturel rationaliste, voire sceptique… Je reçus alors une explication de Catherine : « Mes mots t’arrivent dans ton cerveau. Ils y trouvent tes mots. tout cela se mélange. Il faut que tu ne penses à rien, que tu fasses le vide et tu m’entendras ».

Eh bien, ça marche ! Nous parlons du quotidien. Au début, j’ai voulu en savoir plus… Quel était son Univers ? Ses occupations ? Elle m’en a très peu dit… tout d’abord nos mots ne conviennent pas à ce monde, ensuite ils ont un devoir de réserve… Enfin elle vit dans ce qu’elle appelle « le premier cercle de lumière ». Dans ce cercle, le corps devenu immatériel, conserve toutes ses facultés. Elle entend, elle voit, elle sent le froid ou le chaud mais elle ne souffre pas… Ce corps est une étape intermédiare… C’est elle qui a demandé de rester dans ce premier cercle… Car il y a d’autres cercles de compréhension accrue. C’est son choix. Voilà pourquoi elle pouvait communiquer avec moi.

Ces cercles sont des paliers successifs, autrement-dit, l’âme, arrive avec ses faiblesses et doit s’habituer à ce nouvel univers qui est de l’ordre de l’incommunicable…

La mission de Catherine se résume en trois mots : le conseil, la recommendation et la mise en garde… Je sens très fortement sa présence, le chat aussi. Le poil est hérissé, les yeux exorbités, il observe quelque chose… Thérèse l’infirmière lors d’une promenade que nous faisions ensembles à entendu : « Non. Pas par là ». C’était bien à gauche qu’il fallait aller. C’était une injonction bien forte qu’elle a identifiée comme venant de Catherine…

« Tu doit raconter cette histoire pour que ceux qui pensent que la mort est un trou noir dans lequel on disparaît à jamais apprennent que la mort ne sépare pas ceux qui s’aiment ; qu’ils peuvent se parler, s’aider… ». Pourquoi d’autres ne pourraient-ils pas vivre la même chose ?

Le « Saint » Suaire ? polémiques… Est-ce réellement Jésus ?

Année 1998
Le « Saint » Suaire ? polémiques… Est-ce réellement Jésus ?
Pourquoi les hommes idôlatrent-ils cette « relique » ? Que représente-t-elle par rapport à l’immense enseignement de Jésus…

La science elle-même augmente la polémique. En effet le linceul de Turin reste une énigme. La datation au carbone 14 situe cette relique à l’époque médiévale (13ème – 15ème siècle), mais ce système de mesure est-il fiable ?

Le plus extraordinaire est cette empreinte incrustée dans le tissu. Peu visible en lumière naturelle, elle apparaît saisissante de réalisme en négatif photo.

À partir de ce négatif, une simulation en image de synthèse à permis d’obtenir « le visage » de Jésus

Un autre détail intéressant nous montre à quel point les stigmatisés provoquent leurs propres blessures en fonction de leur croyance. En effet, sur le linceul, les poignets ont été perforés par les clous ; ce ne sont donc pas les mains, les crucifiés ne pouvant tenir ainsi sur la croix, le poids du corps entraînant une déchirure des mains.

Toutes les blessures décrites par les évangiles correspondent aux plaies marquées sur le linceul. Cet homme a été fouetté, il portait la couronne d’épines, il a été cloué et la blessure créée par le légionnaire romain existe sur son flanc droit… Alors, est-ce bien Jésus ?

Un initié me raconta un jour que le linceul pouvait avoir été marqué comme une plaque photographique par le champ éthérique particulièrement puissant du corps de Jésus. Ses apôtres avaient souvent fait allusion à cette aura qui l’entourait dans les moments particuliers de sa mission. Cette énergie prouverait également qu’il n’était pas mort mais dans une sorte de coma…

Voici également une photographie, envoyée dans les années 60, prise par le médium Eugenio Siragusa. Elle représente le visage de Jésus qui a été sensibilisé sur un négatif photo par ce médium. Est-elle vraie ? Est-ce une projection ou une fabrication inconsciente ? Est-ce réellement le visage de Jésus-Christ ?
Peu importe car chacun peut y découvrir « sa vérité », n’est-ce pas la raison même de l’existence du Suaire de Turin ?