« L’île du Paradis » ? Pourquoi ?

Année 1997
« L’île du Paradis » ? Pourquoi ?
A l’aube du 3ème millénaire nos astronomes, astrophysiciens et chercheurs de tout poil restent perplexes devant tant de découvertes (entre autre grâce à Hubble, le télescope spatial) et si peu de réponses…

Des galaxies dont l’existence serait plus avancée que le Big Bang ? Et ce fameux Big Bang dont l’âge n’est plus certains ; 20 000 000 000 ou 12 000 000 000 d’années… n’est-il pas le fruit de notre imagination créé par le désir de découvrir un commencement. Bref ! C’est le chaos organisé, et dans ce désordre si l’on y ajoutait une autre façon de percevoir notre Univers. C’est ce que propose la cosmogonie d’Urantia…

Voici en quatre tableaux le développement de notre « Grand Univers » et j’avoue que cette explication me séduit…

LE CENTRE DE L’UNIVERS

Au centre de l’Univers se trouve l’Ile du Paradis. Elle est la source d’où émanent toutes les énergies qui participent à la création du monde astronomique et assurent les mouvements ordonnés des corps célestes par un complexe de circuits gravitationnels. L’espace existe par rapport au Paradis dont le grand axe détermine le Nord absolu.

A proximité immédiate du Paradis se trouvent 21 sphères circulant dans le sens des aiguilles d’une montre (dextrogyre) sur 3 orbites, et servant chacune
de pôle à des énergies organisatrices vivantes. Le tableau 1 est purement schématique, parce qu’il est impossible de reproduire les vraies proportions géométriques de cet ensemble. L’Ile nucléaire du Paradis a une taille tellement prodigieuse que les énormes sphères des trois circuits pourraient aussi bien être représentées par de simples points.
L’UNIVERS CENTRAL

Tournant autour du noyau formé par l’Ile du Paradis et ses 21 sphères satellites (voir tableau 1) se trouvent trois autres groupes de circuits elliptiques. Le premier est horizontal et contient 1 000 000 000 de sphères habitées circulant dans le sens dextrogyre. Il constitue le parfait univers central appelé Havona (tableau 2). Les deux autres groupes, l’un horizontal orienté en sens contraire (lévogyre) et l’autre vertical et dextrogyre sont ceux des énormes corps de gravité obscurs qui ne reflètent pas la lumière. Leur nombre immense cache Havona aux yeux des observateurs extérieurs.

Le stupéfiant total de leur masse est supérieur à celui de l’ensemble décrit dans le tableau 3, et leur très grande vitesse de circulation contribue à la stabilité de l’univers
central par un double effet gyroscopique. Cette stabilité se traduit par existence de directions cardinales absolus qui commandent toutes les positions des corps célestes. Ces directions absolus se reflètent jusque dans le monde vivant par l’existence générale de cellules directionnelles conférants aux hommes et aux animaux un sens relatif de l’orientation. L’ensemble du système central dénommé Paradis-Hanova est à nouveau représenté ici (tableau 2) d’une manière purement schématique. Par exemple, le grand axe du circuit vertical des corps de gravité obscurs est 150 000 fois plus long que son petit axe.
LE GRAND UNIVERS

Le Grand Univers inclut toutes les parties actuellement habitées de l’espace. Il comprend le parfait univers central du Paradis-Hanova et les 7 superunivers évolutionnaires qui circulent autour de lui dans le sens lévogyre. Le grand axe de l’orbite des superunivers est immensément plus long que le petit axe.

Chaque superunivers (tableau 3) contient 100 000 univers locaux dont chacun contient une dizaine de millions de planètes habitées, ou habitables dans l’avenir
par des races humaines. Notre univers local porte le nom de Nébadon. Il se situe à la frontière extérieure du septième superunivers dénommé Orvonton. Nous en apercevons la majeure partie depuis la Terre sous la forme lenticulaire aplatie de la Voie Lactée avec un diamètre apparent d’environ 200 000 années-lumière.
LE MAITRE UNIVERS

Nous appelons Maître Univers l’ensemble du Grand Univers habité (tableau 4) et de l’Espace Extérieur encore inhabité. Cet espace extérieur se compose de 4 zones elliptiques annulaires alternées et successivement dextrogyres et lévogyres. D’immenses galaxies sont en voie de formation dans ces zones. Nos télescopes optiques ou électroniques en découvrent constamment de nouvelles, dont certaines paraissent fuir à une vitesse de 50 000 kilomètres/seconde. Cette apparence de fuite est due principalement aux deux facteurs suivants :
1) – Les mouvements cycliques de contraction et d’expansion de l’espace ayant une périodicité de 2 milliards d’années. Nous sommes actuellement à peu près au milieu d’une phase d’expansion.

2) – L’effet retardateur sur la lumière de la présence dans l’espace de nombreux corps visibles ou obscurs, de nuages d’hydrogène ou de poussières cosmiques,
de la gravité circulaire du Paradis qui se surimpose à la gravité linéaire de Newton, et de plusieurs énergies encore inconnues de nos savants. On notera incidemment que la Voie Lactée (notre Superunivers) circule à grande vitesse en sens inverse des nébuleuses de la première zone d’espace extérieur, ce qui produit partiellement l’effet apparent de deux trains qui se croisent. Par ailleurs, il existe une combinaison fort complexe entre les rotations de notre planète Urantia (Terre), du soleil, et de notre univers local autour de leurs centres d’attractions respectifs, sans même mentionner les rotations de groupements intermédiaires.
Il serait étonnant d’apprendre dans le futur que notre télescope Hubble vient de découvrir le centre de notre Univers, celui-ci ressemblant à un immense Gyroscope… Attendons donc…
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